Une oasis, des fugitifs...

Une nuit séparait à présent la veille ensanglanté qui s'était déroulé à Blackcastle dans le chateau, les deux fugitifs, s'étaient réfugiés dans une oasis au milieu du désert.
Victor se réveilla le premier, regardant ses blessures, guérits, sans cicatrices, cela grâce à la magie de l'elfe qui l'avait sauvé. La regardant, il trouva en son visage, le même visage gracieux que sa soeur, et se rappela de certains souvenirs. Il fut tiré de son rêve éveillé par un chameau qui venait s'abrevoir dans l'eau clair et limpide de l'oasis, se levant, il s'approcha doucement de celui-ci. Prit de panique l'animal fit marche arrière, chancelant légèrement, mais Victor se baissa, comme reconnaissant une personne supérieur à lui, et, curieusement, le quadripède s'avança vers lui. Bientot, il fut à porté de la main de Victor, dans celle-ci, un poignard, de l'autre main, calmant l'animal par des caresses sur sa cuisse, la lame s'approchant, le chameau ne bougea pas, la pointe s'enfonça dans le haut de la cuisse de l'animal, de minces filets de sang s'écoulèrent dès lors où le poignard fut retiré, Victor rangea le poignard à sa ceinture, puis, d'un geste vif et précis, retira de la chair du chameau la pointe d'une flèche qui y était resté coincée. Libéré d'une atroce douleur, le chameau exprima un grognement comme pour remercier. Victor reparti vers sa sauveuse, mais le chameau le suivit, et s'allongea près des deux personnes, non loin du cheval de la jeune femme...
Le soleil commença à se lever dans le ciel, la température ne tarda pas à grimper, atteignant en quelques minutes les quarantes degrès. Victor, prêt à repartir, resta un moment au-dessus de la femme encore endormie.

*Dois-je la laisser là, seule dans ce désert, elle m'a l'air savoir se défendre, mais... elle m'a sauvé, que dois-je faire, je ne peux resté avec elle, elle doit être comme toutes les personnes de ce monde, mais non ! Elle m'a sauvé, guérit, elle ne peut être comme ce peuple aveugle...*

Victor resta là à réfléchir, se posant les mêmes questions, enfin il décida, il se dirigea vers le chameau qui semblait vouloir être son destrier, y accrochant ses affaires, il fit la selle, donna à boire à l'animal, plaça sur sa blessure le même procédé qui l'avait soigné. Le chameau n'émit aucun signe de douleur. Puis, Victor s'asseya, dos contre l'animal, il ferma les yeux, se reposant encore, et attendant que l'elfe se réveille.

C'est alors, qu'un homme vêtu de noir arriva à l'oasis qu'il avait découvert lors d'un récent passage. Surpris de ces deux inconnu dormant, il les regarda de loin. Il alla boire l'eau de l'oasis sans les réveiller. Une fois refroidit, il se dirigea vers l'homme...

*Corpulence moyenne, plutot fort, le visage légérement mit à l'épreuve du temps, c'est belle et bien un humain aussi, cependant, cette femme, maigre, les traits fins, c'est une elfe. Depuis quand les hommes et les elfes font du chemin ensemble.*

Il avança vers l'homme, sa dague devant lui, il la mit sous le cou du dormeur, fouillant dans le sacoche accroché au chameau, il ne découvrit pas grand chose si ce n'est une odeur de sang, quelques morceaux de pain et de fruits.

L'homme n'avait pas bouger, puis, se dirigeant vers l'elfe, Aragorn répéta les même geste d'inspection mais rien du tout une fois encore.

*Comment deux personnes, voyageant, ne peuvent rien avoir, avec l'habitude, je dirai qu'ils ont quitté un lieux précipitament, peut-etre est-ce ces deux personnes là qui ont fait un carnage à Blackcastle d'après des paysans.*

Il regarda le soleil brulant, ajustant son foulard qui cachait le bas de son visage, il regarda une dernière fois les deux voyageurs, hésitant, pensant...

Edit Guilaad : J'ai cru comprendre que tu ne faisais pas souvent du RP, mais c'est très bien ! =) Continues comme ça =)

Victor ouvrit légerement les yeux, ébloui par le soleil frappant de sa lueur puissante le sable blanc et jaune. Il aperçut, imprécisement l'homme qui se tenait devant lui, à quelques mètres.

*Un long vêtement noir, un foulard sur le nez, les yeux plissés, paisible, ce ne peut être qu'une personne habitué à ce désert infernal. Surement un humain...*

Il regarda avec difficulté l'elfe qui dormait encore d'un sommeil lourd surement.
Regardant le nouveau, il lui adressa la parole sans pour autant se lever, venant de s'apercevoir que sa saccoche avait été ouverte.

"Toi, étranger, comment as-tu pu toucher à mes affaires ? Je présume que tu as touché également celle de l'elfe ?"

Ses lèvres bougeaient, mais ses yeux restèrent quasiment fermé, cela à cause de son habitude de la nuit, ou des endroits peu éclairé qui l'avait rendu nyctalope sur plusieurs années dans les pays voisins et les souterrains.

"Je vous conseille de ne pas poser de question sur moi ou sur mes gestes, mais j'accepte la réponse. Oui, effectivement, j'ai bien fouiller votre saccoche à tous vous deux, et, pour tout dire, je fus déçu par ce que j'y ai trouvé. A moi à présent. Qui êtes vous ? Que faites-vous ici ? Et pourquoi êtes vous tous les deux sur la route ?"

S'avançant prudement vers l'inconnu, il ne se précipita pas de peur de la réaction de l'indvidu, arrivé à côté, il pu voir correctement le visage de l'homme assis, les yeux plissés, agacé par le soleil brulant et eblouissant.
Il sorti un glaive avec lequel il menaça l'étranger.

"Vous avez intêret à répondre, je pourrai vous transpercer d'un simple geste, j'ai accepté votre question, acceptez les miennes,... s'il vous plait."

Il attendit, l'étranger sembla réfléchir à une réponse peu certaine, alors qu'il était menacer d'une lame à quelques centimètres de son cou.

Victor resta calme, limite endormi. L'homme debout devant lui, lui faisait de l'ombre, pour ces yeux, ce fut un réel soulagement.
Il ne prêta en aucun une attention particulière à la lame...

"Ce n'est pas une manière de poser des questions, cependant, vous pouvez frapper, mais si je me relève, vous êtes mort messire. Cependant, je n'ai pas envie de recommencer, et d'être l'auteur d'une nouvelle effusion de sang..."

L'agresseur su à présent que c'était lui le meurtrier de la veille dont les rumeurs lui avaient été colportées.

"Mais j'accepte tout de même, comme vous, de répondre. Je viens de répondre sans le faire exprès à une des questions, quant à mon identité, sachez simplement que je m'appelle Victor, mon nom n'a nul besoin de vous être révélé. Quant à ce que nous faisons ici, dans ce désert, seuls près de cette oasis, je me rappelle seulement que cette elfe m'a sauvé alors que j'étais sérieusement blessé au bras. J'ai une dette envers elle, et vous demanderez ne pas la toucher s'il vous plait, je tiens à elle curieusement."

Victor demanda une fois encore de repousser l'épée que l'homme lui avait mis sous le cou...

"Tres bien j'accepte de retirer mon glaive de votre cou mais en échange vous devrez ne faire usage d'aucune arme et de ne pas fair de corps à corps car j'ai pu remarquer que vous étiez blessé et bien que je sache ce que vous avez fait, je suis étonné qu'une autre personne autre que moi puisse resister à autant de gardes. Si vous permettez, je vais vous laissez à présent, j'ai d'autre occupation, mais je compte vous revoir, vous pouvez en être sur."

Aragorn retira son glaive, et se mit en route, après avoir demandé à l'homme de saluer la dame à son réveil.

*Une elfe qui dort autant, jamais vu, un homme de cette force et de ce courage non plus. Un adversaire, ou un ennemi, nous verrons bien par la suite. Espérons que cela en vaille la peine...*

Swanilda avait entendu le fugitif se levait et, ne voulu bouger, trop endoloris par les efforts énromes qu'elle avait portée la nuit d'avant... Elle attendit alors couchée, regardant discrétement l'homme. Il était si mystérieux et... d'une grande beauté. Elle entendit soudainement un bruit de pas se rapprocher. Le fugitif s'était rendormir près d'elle, elle sentait sa chaleur.
Elle entendit toute la conversation entre le curieux visiteur et l'homme, mais ne préférait bouger. Elle attendit que celui-ci s'en aille. Puis, elle se leva péniblement. Elle s'assit et regarda le fugitif devant elle... Elle n'osait bouger, elle n'avait jamais prit le temps de le regarder de si près et, elle semblait envouté par sa sublime beauté, et son charme. Elle remarqua un chameau derrière lui, et, une ombre au loin... sûrement ce Aragorn, pensa-t-elle. Elle regardait encore l'ange assit devant la jeune femme. Elle ne voulait parler, de peur de briser le charme. Elle se leva, donc, enfin, et prit une gourde remplie d'eau, et lui tendit s'en rpononçait un mot. Elle avança juqu'à sa sacoche, fouilla et récupéra un bout de pain. La jeune femme le lui tendit joliment. Elle s'assit à côté de lui, le regarda enocre, et encore, et encore, et encore... Elle ne pouvait détacher ses yeux de cet être magique. Puis, elle s'arrêta, génée, et regarda au loin.

Victor saisit poliement ce que lui offrait l'elfe ravissante. La nuit dernière, il n'avait pas pu observer le visage de sa sauveuse comme il était à moitié évanoui, mais aujourd'hui, il remarqua chacun des traits fins et parfaits de son visage, la délicatesse de ses doigts, l'agilité et la précision dans la manière de lui donner le pain, la douceur de ses cheveux flottant au vent, sa peau douce refletant la lumière du soleil. Il parvint même à oublier sa dificulté à voir malgrès l'éclat intense de ce soleil de Meihav. Même lors de sa mastication, il ne détourna son regard de ceui de l'elfe, tous deux se regardaient, n'osant prononcer un seul mot qui stopperait ce moment magique.
Mais Victor avait beau être plongé dans une admiration, il savait a fond de lui qu'il fallait repartir, on ne sais jamais ce que ce Aragorn pourrait faire : prévenir l'armée du roi, la garde de Blackcastle serait là avant. Il devait fuir, à contre-coeur si l'elfe ne venait pas.
Victor prit enfin la parole, brisant les longues minutes de contemplation :

"- Bon mademoiselle, je..., je voudrais vous remercier pour ce que vous avez fait, je serais surement,... mort, ou emprisonner à l'heure qu'il est. Mais quel impoli suis-je, je me présente, Victor Hatake, pour vous servir, j'ai une dette envers vous."

Victor parla en balbutiant tout au long, mais l'elfe paru le comperndre. A vrai dire, Victor n'avait jamais parlé à une fille autre que sa soeur, s'il n'avait pas de coup de soleil léger, on aurait pu le voir rougir. Tout en parlant, il se frottait les cheveux par moment, entre un sourire et un raclement de gorge. Jamais il n'avait été aussi mal à l'aise face à quelqu'un.


Edit de l'admin amusé : Popop les enfant, c'est plein de bons sentiments chez vous XD Tout le monde est beau à ce que je vois =)

Swanilda fut surprise que se soit l'homme qui prit la parole en premier lieu. Elle avait failli faire de même, mais, était timide... Elle l'écouta parler et remarqua qu'il semblait quel que peu gêné... Elle voult le mettre à l'aise et répondit d'un ton calme et assuré:

"Bonjour, excusez-moi,je me présente à mon tour: Swanilda Swarovski, elfe sylvain... Je vous en prie, je vous ai sauvé avec un grand plaisir."

Encore un mot de trop pensa-t-elle. Elle avait pleins de questions à lui poser et commença par la première sesé:

"Comment se fait-il que ces gardes voulez votre mort? Vous êtes un voleur, un badit, un réfugier?"

Elle avait comprit qu'elle posait un trop de question, mais, elle ne pouvait s'en empêcher... Elle pensa soudainement à la mission que lui avait confié son père:elle devait trouver un mari dans peu de temps. RElle se rappella, elle avait une semaine, sachant que deux jours s'était déjà écoulés, il lui restait...

" Cinq Jours!"

Cria-t-elle. Oh non que vais-je faire? Elle se rendit compte qu'elle avait parlé à haute voix, ele commença à remballer ses affaires sur sa jument, appella sa louve, et, soudain, elle s'arrêta et regarda... Victor.

Victor ne bougea d'aucune façon, la regardant se précipiter, mettre ses affaires sur sa jument comme si l'expression du nombre de jour était une question de vie ou de mort.

"Vous partez ? Faites donc, mais je voudrais tout de même répondre à votre question. Je ne suis ni un voleur, ni un bandit, encore moins un réfugié. Disons que je suis une personne qui fut jadis et depuis lors, déçu et haineux envers le gouvernement de ces Terres."

Victor parla tout en monta sur son nouveau destrier, alors que le chameau s'éleva prêt à prendre la route, l'homme reprit la parole...

"Quant à ses gardes, s'ils voulaient ma mort, c'est simplement que disons qu'un garde passé là où je sortais de la cuisine, raison personnelle, il allait donner l'alerte, j'ai du l'en empêcher, mais les autres sont arrivés, et vous connaissez la suite...
Je vous accompagne ?"

Victor était fin prêt sur son chameau, il avait pris d'avnce l'elfe qui était encore à terre, le regardant toujours.

Swanilda se calma un moment et répondit:

"Veuillez m'excuser, je dois, j'ai une mission à accomplir, j'ai..."

Elle ne savait si elle pouvait lui dire la vérité, elle le regarda, monta sur son cehval, et déclara, enfin:

"J'ai pour devoir de trouver un mari, je suis la fille du compte Swarovski et, j'ai l'âge pour le mariage. Et, comme le veux la tradition, je me dois de trouvr cet homme avant la date de ce cinquième jour passait...Je ... Je ne sais que faire, vous savez... Où chercher? De plus, ce doit être une personne de haut rang..."

Swanilda pensait étrangement à l'homme devant elle, mais chassa cette idée de son esprit. Il ne pouvait être accepté par son père pour des raisons politiques... Elle talonna son cheval qui partit en marchant suivit de sa louve.

"J'aimerais accepter votre aide pour m'accompagner mais..."

*Vous pourriez vous marriez avec moi? Non, Swanilda, quelle drôle d'idée!*

Victor fut surpris de cette jeune femme, aristocrate, elle était liée au gouvernement plus ou moins, ou en sera-t-elle liée.
Il chassa cette idée, aucune personne gouvernementale ne pouvait être aussi attentionné envers quelqu'un qui ne soit pas de haut rang.

"Un mari ? De haut rang ? Ce qui est sur, c'est que moi, je ne suis rien d'un aristocrate, les détestant comme je vous le dit, je me vois mal enfermé dans ces chateaux infini, sans liberté, je vous accompagne mademoiselle, peut être saurai-je vous être utile, et puis, je vous dois une dette... donc..."

Il s'avança avec son chameau à niveau de la jument. Regarda la louve qui semblait le regarder comme pour dénoncer un ennemi.

*Me regarde-t-elle pour protéger sa maîtresse, ou pour se faire à manger, première option surement.*

Victor sourit à la louve, puis attendit d'abord que l'elfe commença sa marche.

*Je verrai comment se droulera ce voyage...*

Swanilda sourit, et, remaqruant que l'ange regardait sa louve, elle répondit très simplement:

"Veuillez l'excuser... Elle n'aime pas les inconnus mais, elle se fera à vous...Vous avez un coeur pure, et, cela, elle le ressent..."

Swanilda fut très déçue en apprenant qu'elle ne pourrait jamais êtrea avec lui.

*Je vais d'abord apprendre à le connaître avant toutes choses...*

Elle talonna sa splendide jument et elle partit au galop suivit de cet .. ange, elle l'appelerait comme ça dorsénavant...

Suite: http://earthnowais-world.niceboard.org/La-foret-de-Longiad-f24/-p331.htm#331


Edit Guilaad : Tes 10 lignes !

Victor la suivit sur son chameau vers un endroit que seule l'elfe savait, tout le long du voyage, il ne la quitterai pas des yeux. Il était partagé entre deux sentiments, d'un sens, elle l'avait sauvé, guérit, et cela il lui en était reconnaissant, mais d'un autre, elle était la fille d'un seigneur, donc fille du gouvernement. Il ne savait pas ce qu'il devait faire, la suivre devrai être la meilleur solution. Et puis, au fond de lui, il pouvait entendre une voix lui conseillant de la suivre, comme s'il allait se passer une chose bien assez tot. Regardant la louve, il se rassura :

*Bon, le voyage ne sera pas si dur que ça, la louve commence déjà à m'apprécier. Super, c'est un bon début...*

Avant que le chameau ne parte, Victor ajouta un coup d'oeil vers la blessure de l'animal qui semblait déjà bientot avoir disparu complétement. La mixture de l'elfe était sans doute une magie de soin très performante, il avait su guérit sa blessure, lui humain, ainsi que celle du chameau, lui animal.

*A près tout, rien ne peux être pire que rester seul, au moins, avec elle, je passerai plus normal, et peut être qu'en compagnie d'une aristocrate, on ne se douterai pas de moi en faisant un rapprochement avec la veille.*

Victor prit la route qu'ouvrait l'elfe devant lui