Avec Victor --> Direction forêt dorée

Swanilda et l'ange étaient tous deux sur leur montures, et, marchaient d'un pas lent et paisible. La jeune femme appréciait énromément cette forêt, avec son amie Guilaad, elle venait jouer ici, mais elles étaient adolescentes. Elles dormaient toutes deux à la belle étoile, en été.
Swanilda sentit le regard de l'ange posait sur elle comme un défenseur, elle tourna sa tête dans sa direction: non, il ne l'a regardait pas, mais contemplait le paysage...

*C'est un drôle d'impression que de ce croire si sécurisé en sa présence...*

Son père ne l'apprécierait pas, elle en était certaine. Ce bel homme n'aimait pas le gouvernement: comme elle, mais, comment lui faire croire cela. Il devait la detestait désormais... Elle remarqua soudain deux oiseaux, non, deux phoenix, ils étaient proche l'un de l'autre et le mâle chantait sa fameuse mélodie d'amour. Elle n'avait jamais eu cette chance d'en voir de si près. Peu de gens avaient cette chance. Swanilda se souvint alors d'une légende que l'on disait sur ces phoenix:

Un jour, une jeune fille marchait avec un réfugié, elle avit fuit un mariage forcé et aimait cet homme. Ils furent sauvés par deux phoenix alors qu'ils étaient sur le point de se faire rattrapper par les gardes, furieux. Depuis, dans les forêts, ces deux phoenix attendent impatients, de pouvoir sauver deux autres amants en fuite...

Ils avancèrent encore. Swanilda sentit que sa louve était moins froide avec Victor, et s'en réjouie.

Le paysages défilant sous les yeux de Victor, ce fut la seule chose qu'il remarqua inchangé depuis son départ. Sentant le regard de l'elfe, il l'a regarda après qu'elle eu redirégé ses yeux devant elle.

*Ici, tout le monde à changer, la plupart en pire, mais cette elfe, est la première personne que je vois changé en mieux, à moins que... Oui, surement, si elle m'a sauvé, dans ce chateau, à l'ainsu des gardes, c'est que... elle ne doit pas apprécier énormément le gouvernement, sinon elle ne m'aurait pas aidé.*

Dans ses pensées, il croisa quelques secondes le regard de la jeune femme. Il lui sourit, puis fit avancer un peu plus son chameau pour être à hauteur de la jument...

"Dites-moi, sincérement, qu'est-ce qui vous a poussé à me sauver ? Surtout que de votre rang, cette acte peut être de trahison."

Victor attendit une réponse clair, cela pourrait influencer son jugement, ou du moins favoriser un de ses sentiments, celui de l'admiration pour cette femme, et l'autre, de la haine pour ses siens.

Swanilda continuait la route, lorsque'elle vit le regard de l'ange se posait sur elle, elle lui afficha alors, le sourire le plus radieux, et répondit:

"Je... votre question me gêne quelque peu. C'est à dire, que, j'ai ressenti votre souffrance, votre détresse. Je vous ai alors vu. je n'ai hésité aucune secondes de plus, et, j'ai décidé de venir à votre secours. De plus, ces gardes je ne les appréciais guère..."

Dit-elle en rigolant, puis elle continua:

"Je... je sais ce que vous pensez de moi... Le fait, que vous n'aimez pas le governement. Eh bien, bizzarement, moi non plus. Je pleure chaque jour de ne pouvoir faire ce que je désire. Je ne veux restait toute une vie enfermait dans une cage. Cette cage se referme de plus en plus juqu'à ce que je devienne une soit-disant, comptesse."

Elle changea de ton pour arriver à la haine.

"Je suis obligée de me marrier, sinon, je déshhonorerais ma famille! Je ne peux leur faire cela! Mais... cette idée me dégoute, je veux vivre, comprenez-vous? Restez cloitrée, enfermée, ligotée dans ces murs... En compagnie de mon mari. Encore l'un de ces beaux parleurs, et, qui n'ont aucun sentiment aucun savoir vivre. Il ne pense qu'à eux même. Il ne me regardera jamais, je ne serai qu'un outils pour lui, une défense, ou un objet. Je ne veux vivre cette vie. Je devrai signer des papiers, et, porter ces robes affreuses, et, inconfortable!!! Je les déteste tous!"

Tout au long de son discours, les larmes naîssairent peu à peu et, à la dernière phrase, elle tombèrent sans un bruit sur ses joues. Elle ne voulait croiser le regard de l'homme, et détourna les siens du côté opposé. Elle savait qu'elle en avait trop dit, et, si cela se savait, elle pourrait être pendue pour trahison envers le gouvernement et ... son père. Puis, elle chuchota:

"Vous savez, j'ai perdu ma mère, enfant... Ele était comme moi, au début... Puis, elle se résigna à cette vie horrible. Et, je veux qu'elle soit fière de moi... tout comme mon père..."

Elle baissa sa tête, honteuse.

"Excusez-moi.... Je m'emporte... Je me tairais désormais..."

Swanilda regarda le paysage, et, remarqua peu à peu que la nuit arrivait rapidement. Elle décida qu'ils marcheraient encore deux heures, et, ils s'arrêteront pour dormir...

"Je suis navré, pour votre mère, je ne voulais en aucun cas vous faire souvenir de ces durs moments. Moi même, j'ai perdu ma famille et ma soeur, cela à cause des démons, et de l'incompétence de l'armée du gouvernement à qui j'aurai pourtant donné ma vie autrefois.
Mais voyez-vous, je ne voudrais pas vous agacer avec mes problèmes, je vous explique cela pour que vous compreniez ma haine envers les aristocrates..."

Victor tendit sa main sous le menton de la jeune femme, tourna sa tête vers lui, à l'aide d'un mouchoir, il essuya les larmes qu'il n'avait pu s'empêcher d'apercevoir...

"J'espère que vous trouveriez ce que vous chercher, et je jure même, de vous suivre jusqu'à que cette quête soit achevée si vous le voulez évidement, je ne voudrais en aucun cas vous brusquer. Comme vous l'avez dit, il ne vous reste plus que cinq jours, un peu moins à présent. Nous devrions nous presser un peu si vous le voulez..."

Il adressa ces mots tout en passant sous les yeux de l'elfe le mouchoir qu'il rangea par la suite dans la poche de la jeune femme.

"Gardez-le, je vous en pris. Je voudrais aussi vous remercier encore pour hier. Je pense avoir été bête de douter de vous durant un instant, excusez-moi..."

Victor abaissa la tête, cessant toutes paroles qui pourraient blesser d'avantage l'elfe.
Ils continuèrent leur route, Victor souriant à elle, espérant lui faire retrouver son si beau sourire. Il la regarda plusieurs fois, admirant sa beauté, sa délicatesse de ses actes, la complicité qu'elle avait avec ses deux compagnons.
Ne sachant qu faire d'autre, il plongea ses yeux dans un ancien souvenir :

Ce fut un soir d'hiver, dans le froid de Février, non-loin du jour de son anniversaire. Ce jour là, l'armée royale, dans laquelle il était capitaine, n'avait reçu aucun ordre de défense ou d'attaque. Dormant paisiblement, on le réveilla dramatiquement, lui apportant une lettre :



"- Capitaine ! Une lettre pour vous, de la part de l'Etat Major du Royaume.
- Merci bien...,[...] ,... Non ! Impossible...
- Capitaine ? Tout vas bien ?
- Dites-moi sergent, aucune de nos armées n'a reçu ordre d'un affrontement, ou de tension à Lagnaba ?
- Non Capitaine, aucune, l'Etat Major ne nous as rien signalé. Est-ce grave ?
- Disposez, je vous en pris.
- Vous êtes sur ?
- Disposez !"

Il passa la nuit à relire la lettre, désesperé, ses joues parsemées de larmes, il ne pouvait les retenir. Le campement tout entier avait compris que leur Capitaine avait perdu un espoir, une confiance. Sans intervenir, ils le laissèrent partir le lendemain à l'aube, le regardant tel un héro qui avait tant de chose pour eux, tant de sacrifice, mais ce dernier était belle et bien le dernier. Sur son cheval, Victor quitta alors le régiment, laissant la lettre sur le lit de sa chambre de fortune. Le sergent qui avait ammené la nouvelle, lu la lettre pour comprendre la tristesse de son Capitaine :
Capitaine Hatake,
Nous sommes navrés de vous annoncer, après la mort de vos parents il y a à présent deux ans, celle de votre soeur lors d'une attaque démoniaque dans le secteur sud de Lagnaba. Nos armées envoyées n'ont pu arriver à temps, nous sommes une nouvelle fois désolé de cette triste acte funébre.
L'Etat Major vous gratifiera d'une prime de guerre, ainsi que de courage pour le sacrifice de votre soeur qui vous seront naturellement reversées lors de votre arrivé à Dragonis."Pauvre homme, voilà la raison de son départ, sa soeur est morte, de plus, lorsqu'il m'a demandé si une quelconque armée avait été envoyé à Lagnaba, je lui ai assuré que non, ce qui prouve un mensonge de l'Etat Major. J'espère que vous saurez vivre en paix,... Mon Capitaine."

Ainsi fut la dernière parole que Victor pu entendre de son sergent. Ce-dernier mourra lors d'une bataille une semaine après, lors d'une embuscade sur le chemin du retour vers Dragonis...


Victor revint à lui après le souvenir passé, quelques larmes s'écoulèrent le long de son visage. D'un revert de manche, il les essuya, regardant devant lui, les yeux assombrient et humide...

La jeune femme, fragile, apprécia énormément la gentillesse de ces mots et de son geste. Sa main était si douce, si réconfortante. Elle était bien et aurait voulu que cette sensation et ce bonheur reste à tout jamais. Elle entendait le chant des phoenix au loin qui la reposait encore plus. Elle sentit, pour la première foi de sa vie l'envie de se battre, de gagner cette bataille. Elle souhaitait de tout son coeur qu'il reste à ses côtés toute sa vie. Même si cela semblait impossible... Elle pourrait tout de même en parler à son père. Mais, cette simple allusion au comte la fit retomber sur terre. Quand elle sentit sa main s'enlever doucement, elle faillit pleurer. Au lieu de cela elle chuchota:

"Merci, monsieur..."

Elle comprenait dans ces paroles qu'il avait connu la tristesse, la mort, la haine, l'amour... Elle se sentit soudainement coupable de ses paroles.

*Il a eu une vie sûrement plus terrible que la mienne. Il doit sûrement penser que je suis égoïste de mettre emporté ainsi. Je vais avoir une vie de reine. Je ne mourrai pas de faim, de froid... sûrement d'amour, mais cela il faudra que je m'y résigne. Suis-je bête de n'avoir pensée qu'à moi. Ce pauvre homme a affronté tant de batailles.*

Puis, elle regarda de nouveau la route, si ils continuaient de marcher durant la nuit, ils arrivont chez son père au petit matin. Ils continuèrent, alors... Puis, elle ressentit de nouveau de la haine et une grande tristesse pour son compagnon. Et, sans réfléchir, elle posa sa main sur la sienne grâcieusement.

"Je suis désolée..."

Dit-elle sans vraiment comprendre. Elle remarqua une larme coulait sur les jous cet ange. Elle ne put retenir les siennes et fît de même. Elle serra sa main encore plus pour lui montrait sa présence et sa compassion... Un moment intense et fort....

Victor tourna son regard vers sa main, puis leva sa tête jusqu'à celle de l'elfe. Lui souritant, il s'aperçu qu'elle avait du s'apercevoir de son chagrin, il essaya d'afficher une mine plus radieuse, plus stricte, mais ses pensées ne changèrent guère. Le soleil atteignait à présent son zénith. Il entendit alors l'excuse de Swanilda qui d'après lui n'avait pas à être prononcé :

"Gardez vos excuses, elles ne me sont pas destinées, gardez les pour ceux qui ont en rellement besoin. Je vous suis, preuve que vous ne m'avez rien fait. Mais je voudrais savoir une chose,... Où allons-nous ?"

Victor, attendant une réponse qui peut être ne viendrait pas, plongea son regard dans les doux yeux de l'elfe, la regardant, sa tête approchant doucement, il reprit ses esprits, détournant le regard, il regarda le sol defiler sous les pieds du chameau, comme une vie, la route commence, et s'achève, mais entre le début et la fin, certains chemins la brisent en morceaux éparpillés, mais d'autres, se joignent à lui pour ne former plus qu'un. Les ennemis étaient les chemins le brisant, mais l'elfe semblait être celle qui ne formerait plus qu'un avec lui...
Il chassa cette idée farfelue, il n'était ni de haut rang, ni ne pouvait adopter la fonction de roi tout au tard, et puis, comment pouvait-il ressentir une quelconque affection envers elle, elle avait beau detestait le gouvernement tout comme lui, l'avoir sauvé,...
Toute ces idées contradictoires se mélangeaient dans son crâne, ce qui ne rendait pas plus facile la résolution de ses questions.

*Est-il possible que... non, bien sur que non.*

Victor retourna à nouveau son regard vers l'elfe, un rayon de soleil illuminait son visage, les cheveux passant dans ses cheveux les faisant flottaient...

Swanilda le regarda compréhensive. Elle fût hereuse de le voir sourire. Elle lui rendit son sourire, et laissa sa main en sécurité dans la sienne. La jeune femme s'attendait à cette question et répondit aussitôt:

"Nous allons chez mon père, ma maison. Il m'y attends... J'avaispour devoir de rammener un mari. Mias, ce n'est pas grave, il a dû très surement le faire pour moi. Il ne sait jamais vraiment soucié de ma vie, jusqu'à mon anniversaire, où il me demanda ce fameux soir de trouver mon bien-aimé. Il fallait que ce soit une personne de haut rang. J'étais alors partit pour cette quête à Blackcastle... J'ai trouvé ce que je désirais... Cependant, c'est un rêve... intouchable et improbable."

Elle soupira et regarda la forêt encore une fois... Puis, se retourna vers l'ange et dit:

"Je verrai bien là bas! Il y aura sûrement des personnes qui sont venues pour convaincre mon père et pour demander ma main. Et, après, dans moins de cinq jours, je serais marriée et vous... loin."

Elle lâcha tout de suite la main de l'homme de peur qu'il ressente sa tristesse et le frisson qui l'avait parcourut durant quelques secondes.

*je veux m'enfuir, loin...*

Puis, elle continua:

"Ne vous inquiétez point, nous arriverons dans la forêt dorée dans peu de temps..."

Ensuite, elle fit s'arrêter son cheval et le chameau et descendit tranquillement de sa jument. Elle chantonna en elfique, puis, sa louve arriva rapidement. La jeune elfe s'accroupit pour être à sa hauteur et cuchota en elfique encore une fois. Elle se releva et, sa louve partit en courant. Remarquant l'air interrogateur de son compagnon, elle dit:

"Ma louve va voir où nous en sommes et si nous arrivons bientôt. Elle a un très bon sens de l'orientation..."

Swanilda ne fût pas surprise de la voir revenir au bout d'une trentaine de minutes. Elle se baissa encore une fois et en plongeant son regard dans les siens. Swanilda se releva et déclara:

"Nous sommes arrivés dans une heure..."

Elle afficha un splendide sourire à son ange et repartit...

"Oh, on va au chateau... Mais, votre quête, je pensai vous être utile. Mais si telle est votre choix, je vous suivrai, même jusque dans la cour de votre chateau. S'il m'arrête pour trahison envers le royaume, et bien qu'ils me tuent, une fois encore, ils feront leur devoir de protecteur du trône au détriment de leur peuple et de leur Capitaine..."

Victor ne s'était pas rendu compte qu'il avait prononcé le mot de Capitaine, du moins avant de l'avoir prononcé. Désormais, il savait, cette elfe était comme lui, esclave d'un gouvernement, ces précédentes larmes avaient été le signes de tristesse et de désespoir, la façon avec laquelle elle avait prononcé le mot "loin" prouvait son attachement à l'homme, au moins autant que ce-dernier envers elle.

"Ce rêve mademoiselle ? Est-ce celui de trouver la personne de haut rang que vous aimerez tout comme il vous aimera, où celui d'être libre, une fois pour toute ? Peut être est-ce les deux à la fois ?..."

Victor se tut un instant, puis reprit :

"Je viendrez comme je vous l'ai dit, et si vous ne trouvez pas votre bonheure au palai de votre père, et si je parvins à ne pas me faire prendre, je jure devant vous, que je vous emmenerai aussi loin que vous le voudrez, et nous chercherons enseble votre quête..."

Les derniers mots, il les avait prononcés moins fort, comme regrettant ce qu'il est, ce qu'il était, ce qu'il a fait.

"Vous savez, je regrette beaucoup de chose dans ma vie, mais une seule chose me tient à coeur, le fait de vous avoir rencontré, si la plupart de mes actes passés je les regrette, ce que je vous ai promis, cela, j'en suis fier. Si mes actes ultérieurs ne m'ont rien apportés, ce qui suivront vous seront entièrement dédiés...
En direction de la Fôret Dorée si vous le voulez, ou ailleurs comme vous le désirez et quand vous le voulez."

Victor retrouva enfin son sourire, ces mots, ils les voulaient réconfortant piur l'elfe, mais ils se trouvèrent aussi pour lui. Il regarda l'elfe frémissant, et lui reprit la main, lui souriant à nouveau.

*Si je meurs, j'espère que mon sacrifice servira à qu'elle s'échappe, je me batterai jusqu'à la mort pour lui laisser une chance de s'enfuir... Je te le jure ma defunte soeur, je le jure, ainsi que devant mes feu parents.*

Swanilda sourit appréciant encore une fois les mots très réconfortants de l'ange. Elle le regarda et répondit:

"Ce rêve est de pouvoir me marrier avec la personne que j'aime et de m'enfuir... très loin de cette vie horrible. Partir de la haine, de la tristesse, de la politique, de mon père... Vous savez, vos paroles me touchent énormément. Vous êtes la seule personne que j'apprécie. Vous savez, très rarement je racont autant ma vie et ce que je ressens, mais, une magie inconnue me pousse à cela. "

*Je voudrais vivre avec vous pour l'éternité.*

"Votre fidélité me touche également, et, ne vous inquiétez point, je vous protégerez, comme j'ai pu le faire... Je vous apprécie beaucoup votre présence m'apaise énormément. Mais, je souhaiterais tout de même vos présenter à mon père... Merci encore..."

Elle sourit reconnaissante. Et, remarqua la lisière de la forêt dorée devant eux.

"Je suis fière et heurese que vous soyez à mes côtés pour surmonter mon père et ma destinée..."

Elle sera encore plus fort la main de l'ange. Elle la prit et laposa sur sa joue. La jeune femme ferma les yeux la main de l'ange posait sur son visage, glacée.

Edit Guilaad : Swa', sa te dérangerais de ne pas tout le temps mettre l'ange s'il te plait ? Parce que pour une personne qui n'a pas lu tous vos messages c'est un peu déstabilisant...

Edit de Swanilda: De toute manière, je ne peux l'appeller autrement, moi, je ne lis pas les mess des autres, pour n'être au courant que de ce que mon personnage est au courant.... --> pour victor! ^^

Tu pourrais dire Victor ou l'humain, ou l'homme de grande beauté talali talala, dans la narration, ca te tuera pas un homme

"Dans ce cas, nous arrivons bientot, je serais, curieusement, heureux de rencontrer votre père."

Victor caressa la joue de l'elfe qui venait de mener sa main à son visage. La regardant, l'admirant. Cela faisait une dizaine d'année qu'il n'avait souri à quelqu'un, cela fait près de dix ans aussi qu'il n'avait parlé autant de temps et fait un si long bout de chemin avec une personne.

*Si seulement mes démons m'avaient laissé en paix, je serais monté dans l'armée, à un point que j'aurai été nommé général, et... J'aurai été une personne reconnu, admiré, et par conséquent, dit de 'haut rang"... Mais ce destin en a décidé ainsi, je ne sais pourquoi je dois passer par ce sentier abrupte, mais j'arriverai à atteindre le sommet, coûte que coûte...*

Enfin la clairière de la fôret dorée apparaissait devant eux, le soleil était haut dans le ciel à présent, la chaleur du désert ne se faisait plus ressentir. Tous deux marchèrent vers le chateau du comte Swarovski...