Arrivé en ville

Quelques heures s’étaient déroulé depuis Elinav, les trois compagnons de route, sur leurs autruches, arrivèrent vite à Dalaign. L’orage les avait suivit tout au long, parfois de grands coups de tonnerre fracassaient le ciel, à d’autre moment aussi sombre, c’était un éclair qui transpercé les nues. Cependant, sans aucun arrêt, Victor avait entraîné les deux autres par monts et par vaux, les autruches, dans leur élan indifférent et inchangeable, ne se soucièrent point de leur sort qui était la conduite des trois voyageurs. Enfin la capitale était à porté de vue, dans un dernier effort identique, les trois bipèdes, leurs fardeaux sur leur dos, la grande et majestueuse porte s’approché dangereusement, de part et d’autre des deux battants, des villageois, des cavaliers et soldats entraient et sortaient. Jour de fête, ou de foire, peu importe, la journée était et serait mouvementé. L’allure des grands oiseaux ralentit aussi vite qu’ils couraient peu de temps auparavant.
D’un pas lent et incertain, ils rentrèrent tous trois dans l’immense cité, Victor en tête, suivit de Swanilda et de l’homme, les autruches laissaient à leur sort à l’extérieur.
En tête, Victor avait une promesse, il fit signe à Swanilda de le suivre, lissant l'homme mystérieux à ses occupations s'il en avait de spéciales. Victor et Swanilda, eux, se dirgeaient vers une échoppe où Victor voulait offrir une tenue entière à l'elfe. Une fois entré, il fut surpris par le choix immense qu'offrait le vendeur, plusieurs type de vêtements étaient accroché sur les murs, pliés dans des tiroirs, rangés sur des étagères, puis, parmis cette classifiction surprenante, un autre critère plus extra-ordinaire faisait place à l'émerveillement de l'ordre et de l'organisation : Des habits en soie, d'autre en tissus, ou encore en matière dont Victor ne connaissait le nom. C'était un formidable festivale de couleur et de matière. Ne sachant par où commencer, il se gratta la tête, le regard perdu, souriant amusé.

*Cela fait une éternité que je n'ai remit pied dans ce type d'échoppe, bien longtemps...*

Puis, se tournant vers Swanilda, si belle, il lui adressa quelques paroles...

« Bon, je t'avais promi de t'offrir quelques vêtements afin de te vêtir plus, Le marchand à l'air de nous regarder comme deux étranger d'Earthnowais. »

Victor se mit à rire, il se sentait si bien au côté de sa bien-aimé, alors qu'il ne voyait qu'elle, à l’extérieur, la foule, telle la houle hurlante sur le pont d’un navire, amené à l’ambiance froide et sombre ses cris, les marchands, désespérant, se battaient à qui crierai le plus fort, remportant alors un combat qui n’attendait que le passage d’un client achetant le sujet des cris, y mettant à terme, pour qu’ensuite, un nouveau combat refasse surface de plus belle…